C’est avec fraîcheur que le Rose Betty Klub, ce quintet insolite, a conquis la scène jazz.
Avec ses albums GOOD et BLEU, de compositions originales, le Rose Betty Klub affirme son style : du jazz tombé dans un juke box ! Un jazz teinté de rhythm n’blues, de soul, de boogie woogie, de rock n’roll et de blues. Avec son side-project MADEMOISELLE, le Rose Betty Klub dévoile un jazz en français poétique et intimiste où la matière des mots vient percuter l’interprétation théâtrale : une création insolite et originale.
Une énergie scénique généreuse, juste ce qu’il faut de gouaille, un style pulpeux et distingué qui en jette, Rose Betty a de l’aplomb et une voix qui en impose.
Fascinée depuis sa plus tendre enfance par les comédies musicales américaines, Marie Nosmas – alias Rose Betty – plonge avec bonheur dans le jazz et en 2012 le Rose Betty Klub.
La brune Rose Betty a cette présence évidente et vivante que l’on doit aux années théâtre qui ont précédé son arrivée sur la scène musicale. Avec son look de pin up et son allant charismatique, Rose Betty ne peut s’empêcher de parler, d’inventer, de danser, de bondir, de rire, entraînant le Klub dans cette douce folie ! Le Klub, une fille et trois garçons, pulse comme un big band et se réinvente à chaque morceau. On y découvre Jon Da Costa Ferreira – alias Johnny Mustang – passionné de blues et de rock n’roll, avec sa belle guitare Gretch, à l’origine des compositions, Estelle Vidal – alias Stella Brown – à la joie communicative avec son piano, Romain Portet – alias Clyde « Mojo » Jones – assurant une solide rythmique à la contrebasse, et Simon Grillères – alias Scott « Hi Hat » Jenkins – propulsant le Klub grâce à sa batterie.
Drôles, énergiques, et faussement nostalgiques, les concerts du Rose Betty Klub sont une assurance contre la morosité.
On martèle du pied, on balance la tête, on se déhanche, l’idée est là : être rock n’roll, donner le swing, comme Cab Calloway ou Chuck Berry savaient si bien le faire.
Des petits clubs de jazz aux grandes scènes, comme en première partie de Ben l’Oncle Soul, Cyrille Aimée ou Raphaël Lemonnier, le RBK cultive inlassablement un univers joyeux et vivifiant, et c’est bien en live que cela prend tout son sens !
C’est avec fraîcheur que le Rose Betty Klub, ce quintet insolite, a conquis la scène jazz.
Avec ses albums GOOD et BLEU, de compositions originales, le Rose Betty Klub affirme son style : du jazz tombé dans un juke box ! Un jazz teinté de rhythm n’blues, de soul, de boogie woogie, de rock n’roll et de blues. Avec son side-project MADEMOISELLE, le Rose Betty Klub dévoile un jazz en français poétique et intimiste où la matière des mots vient percuter l’interprétation théâtrale : une création insolite et originale.
Une énergie scénique généreuse, juste ce qu’il faut de gouaille, un style pulpeux et distingué qui en jette, Rose Betty a de l’aplomb et une voix qui en impose.
Fascinée depuis sa plus tendre enfance par les comédies musicales américaines, Marie Nosmas – alias Rose Betty – plonge avec bonheur dans le jazz et en 2012 le Rose Betty Klub.
La brune Rose Betty a cette présence évidente et vivante que l’on doit aux années théâtre qui ont précédé son arrivée sur la scène musicale. Avec son look de pin up et son allant charismatique, Rose Betty ne peut s’empêcher de parler, d’inventer, de danser, de bondir, de rire, entraînant le Klub dans cette douce folie ! Le Klub, une fille et trois garçons, pulse comme un big band et se réinvente à chaque morceau. On y découvre Jon Da Costa Ferreira – alias Johnny Mustang – passionné de blues et de rock n’roll, avec sa belle guitare Gretch, à l’origine des compositions, Estelle Vidal – alias Stella Brown – à la joie communicative avec son piano, Romain Portet – alias Clyde « Mojo » Jones – assurant une solide rythmique à la contrebasse, et Simon Grillères – alias Scott « Hi Hat » Jenkins – propulsant le Klub grâce à sa batterie.
Drôles, énergiques, et faussement nostalgiques, les concerts du Rose Betty Klub sont une assurance contre la morosité.
On martèle du pied, on balance la tête, on se déhanche, l’idée est là : être rock n’roll, donner le swing, comme Cab Calloway ou Chuck Berry savaient si bien le faire.
Des petits clubs de jazz aux grandes scènes, comme en première partie de Ben l’Oncle Soul, Cyrille Aimée ou Raphaël Lemonnier, le RBK cultive inlassablement un univers joyeux et vivifiant, et c’est bien en live que cela prend tout son sens !
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ALBUMS
GOOD – 2015